UNE BOUCHERIE AUSTRALIENNE ATYPIQUE / INNOVER POUR LE COMMERCE
Sixième producteur mondial de viande bovine, l’Australie compte de nombreuses boucheries.
L’une d’entre elles a été sacrée « Meilleure boucherie du monde » par The Internet Chef.
VIEUX DE 1876, L’ÉTABLISSEMENT INTENSIFIE SON ACTIVITÉ GRÂCE À DES INNOVATIONS MARKETING DEPUIS 10 ANS AU SEIN DE LA BOUCHERIE.
Premièrement, héritiers de la boutique de James Churchill, Victor Puharich et son fils ont repris les rennes de la boucherie. Eclairée par des jeux de lumière, une zone réfrigérée abrite 4 postes de découpe sur lesquels les bouchers taillent les pièces à la vue des clients. L’amateur de viande a le choix entre le rosbif, le poulet épicé, le hamburger, le bœuf mariné ou encore les terrines.
Cependant, si dans son savoir-faire la boucherie reste assez traditionnelle, sa décoration est digne de celle d’un magasin de luxe. Parée de boiseries raffinées, la mise en vitrine est revisitée à chaque nouvelle saison et demande une installation artistique conséquente. Des lutins de Noël aux roses de la Saint-Valentin, les passants ne peuvent s’empêcher de jeter un coup d’œil. Les plus belles carcasses sont suspendues à un carrousel. En 2010, l’établissement remporte un award à New York pour le Meilleur Design Intérieur International.
C’est pourquoi, la famille Puharich a su innover et faire de cette boucherie et un lieu d’apprentissage et interactif. Les communautés Facebook et Twitter sont régulièrement informées des cours de cuisine et des rencontres autour de produits d’exception qui se tiennent dans cette boutique de Sydney.
Pour conclure, l’effet bœuf de Victor Churchill se confirme sur les réseaux sociaux. Son compte Instragram recense 37 200 abonnés, ce qui est exceptionnel pour un commerce de proximité.
Retrouvez l’article complet à ce sujet sur le Retail Blog
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Sixième producteur mondial de viande bovine, l’Australie compte de nombreuses boucheries.
L’une d’entre elles a été sacrée « Meilleure boucherie du monde » par The Internet Chef.
DATANT DE 1876, L’ÉTABLISSEMENT INTENSIFIE SON ACTIVITÉ GRÂCE À DES INNOVATIONS MARKETING DEPUIS 10 ANS AU SEIN DE LA BOUCHERIE.
Premièrement, héritiers de la boutique de James Churchill, Victor Puharich et son fils ont repris les rennes de la boucherie. Eclairée par des jeux de lumière, la zone réfrigérée abrite 4 postes de découpe sur lesquels les bouchers taillent les pièces à la vue des clients. L’amateur de viande a le choix entre le rosbif, le poulet épicé, le hamburger, le bœuf mariné ou encore les terrines.
Cependant, si dans son savoir-faire la boucherie reste assez traditionnelle, sa décoration est digne de celle d’un magasin de luxe. Parée de boiseries raffinées, la mise en vitrine est revisitée à chaque nouvelle saison et demande une installation artistique conséquente. Des lutins de Noël aux roses de la Saint-Valentin, les passants ne peuvent s’empêcher de jeter un coup d’œil. Les plus belles carcasses sont suspendues à un carrousel. En 2010, l’établissement remporte un award à New York pour le Meilleur Design Intérieur International.
C’est pourquoi, la famille Puharich a su innover et faire de cette boucherie et un lieu d’apprentissage et interactif. Les communautés Facebook et Twitter sont régulièrement informées des cours de cuisine et des rencontres autour de produits d’exception qui se tiennent dans cette boutique de Sydney.
Pour conclure, l’effet bœuf de Victor Churchill se confirme sur les réseaux sociaux. Son compte Instragram recense 37 200 abonnés, ce qui est exceptionnel pour un commerce de proximité.
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