Les fondateurs de The Latest ont d’abord retenu près de 1 500 produits, qu’ils ont principalement trouvés sur les grands sites de crowd-funding, dans les start-ups ou parmi les produits les plus populaires d’Amazon.
Rendre le point de vente physique accessible aux nouveautés.
Le magasin se concentre sur le fait de mettre en valeur les produits pour des marques ayant rarement accès à un magasin dédié. Les fabricants louent l’espace pendant trois à six mois, moyennant une cotisation mensuelle, et touchent 100 % des ventes réalisées (souvent à travers leurs propres site Internet et canaux de distribution).
Un business modèle loin du retail traditionnel.
The Latest n’achète ni ne possède aucun stock, il agit simplement en tant que partenaire et intermédiaire entre la marque et le consommateur. Le but est de mettre en place une plateforme et un banc d’essai pour tester les nouvelles idées, sans obliger les fabricants à investir pour acheter leur propre magasin, recruter du personnel ou s’équiper de systèmes d’information retail et terminaux de paiement.
L’objectif est de faire connaître les produits et de susciter l’intérêt, mais aussi d’accumuler des données utiles sur les clients : enregistrer leurs coordonnées pour les inviter à de futurs lancements de produits ou évènements ou comprendre ce qui leur plaît ou non pour transmettre cette information aux fabricants ; par exemple, si une couleur spécifique est peu populaire, ou que le goût d’un produit laisse à désirer.
Une force de vente ultra-qualifiée.
Accordant une importance capitale à la qualité du niveau de service, The Latest mise sur un personnel de vente hautement qualifié, presque dix fois plus nombreux que dans les magasins concurrents. Dans le magasin berlinois, on ne compte pas moins de 80 « Experts d’expérience », soit presque autant de vendeurs que de produits.